Grenoble Alpes Métropole (FR)

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Données synthétiques

GRENOBLE ALPES METROPOLE (FR)

Échelle XL/S

Représentant d’équipe Architecte, urbaniste et paysagiste
Localisation Grenoble Alpes Métropole - Isères (38)
Population Ville 158.454 habitants, Grenoble-Alpes Métropole 443.123 habitants

Site de réflexion 1650 ha - Site de projet (1) 9,8 ha, (2) 0,7 ha

Site proposé par Grenoble Alpes Métropole
Acteurs impliqués Ville de Grenoble, La Tronche, Meylan, Saint Martin d’Hères, Gières, Domène, Murianette, Grenoble-Alpes Métropole, Conseil Départmental de l’Isère, Région Auvergne Rhône-Alpes, Agence d’Urbanisme de la Région Grenobloise, Campus UGA, CHUGA
Propriétaire(s) du site GAM, communes, privés

Phase post-concours Workshop et missions d’étude et de maîtrise d’oeuvre sur un ou plusieurs sites mutables. Des suites opérationnelles pourront être initiées avec des partenaires.

Information complémentaire

Les défis du milieu habité

Grenoble-Alpes Métropole est fréquemment identifiée par sa proximité aux massifs montagneux. Pourtant, c’est la plaine qui accueille en grande partie les habitants et leur vie quotidienne. Ainsi, au-delà de ces grands espaces de nature majestueux que sont les Alpes, Grenoble Alpes Métropole souhaite reconnecter l’espace urbain et ses habitants avec des espaces naturels généreux, intégrés à la ville, accessibles à tous. Ces espaces naturels sont des refuges de biodiversité, le support d’usages de loisirs, récréatifs et de mobilité, bien sûr, mais ils accueillent également des fonctions agricoles, économiques, productives, liées aux risques d’inondation, et c’est bien dans tous ces aspects qu’ils doivent être pensés et projetés.
Le Parc résulte en partie d’un éloignement de la rivière, en réaction protectrice vis à vis du risque d’inondation. Les tissus urbains se sont développés en tournant le dos à la rivière et l’adoption d’une approche technique du territoire a jusqu’alors privilégié un rapport à la rivière sous le prisme des infrastructures techniques. Alors, le thème Villes Vivantes vient interroger ce rapport aux éléments naturels, invite à explorer la diversité des qualités du parc, à traduire les facettes de son habitabilité.
Les équipements techniques métropolitains, le parc urbain, les activités agricoles, présents à l’intérieur du parc mènent à l’étudier autant sous les angles d’un espace productif que d’un espace récréatif.
L’habitat, parfois informel et les axes de déplacement invitent à en questionner l’habitabilité et les mobilités.
La biodiversité et la présence de l’eau interrogent la place du vivant.

Questions aux concurrents

Il est attendu un processus d’arbitrage, de conception et de mise en œuvre de projets, qui permettra d’ouvrir et connecter le parc sur son environnement, d’activer les synergies et de révéler les métabolismes à l’œuvre dans le parc, de faire projet avec l’eau et ses aléas et de valoriser les qualités d’habitabilité du site.
Il s’agit de définir des règles communes et réplicables (et non pas duplicables) aux objets, aux projets et aux actions qu’ils renferment, qui y prennent place. Ces projets et actions peuvent être classés selon leur typologie ou les « situations » (spatiales, temporelles) auxquelles ils se rapportent. Comment ces règlent participent à révéler le parc, le font vivre et rayonner ?
Le processus développé par les équipes de candidats pourra être mis en application sur les deux sites de projets ciblés mais aussi sur d’autres sites identifiés par les candidats et jugés stratégiques au regard de leur proposition.
Il intégrera également un phasage, du temps court au temps long et un travail transcalaire, du micro au macro, des actions immédiates permettant de rendre accessible le parc, d’améliorer son appropriation, de soigner les interfaces entre les projets en cours.
Plusieurs thématiques de la « ville vivante » sont prégnantes dans le Parc des boucles de l’Isère et l’approche par les « règles du jeu » doit permettre de s’en saisir concrètement et de les traduire dans la mise en œuvre d’un Parc naturel, urbain et agricole en prise avec les enjeux actuels.

Questions à propos du site

Bonjour, Quand pourrons-nous disposer des plans des sites de projets (relevés géomètres) conformément à ce qui a été annoncé lors de la visite de site ?

Voir les dwg dans New docs after launch, dans le dossier de site complet, de nouveaux docuement ont été déposés.

Est-il possible d'avoir un plan plus détaillé des bâtiments du site 1 ?

Les plans du site 1 sont en cours de finalisation et seront disponibles sous quelques jours.

Lors de la visite du site, on nous a dit que nous allions recevoir les dessins planimétriques des deux sites. Où pouvons-nous les trouver ?

Les plans du site 2 ont été mis en ligne dans le dossier de site complet ou dans New docs after launch, dans lequel sont ajouté les nouveaux fichiers demandés après le lancement. Les plans du site 1 sont en cours de finalisation et seront disponibles sous quelques jours.

Pendant la visite, nous n'avons pas eu d'informations sur les voûtes et la boucle de l'aérodrome. Il n'y a pas non plus d'objectifs clairs spécifiés pour ces deux zones (même si le site de réflexion les comprend). Cette zone est-elle censée être prise en compte dans le projet ? Si oui, y a-t-il des informations plus spécifiques pour les zones environnantes et l'aérodrome ?

Les boucles des Voutes et de l’Aérodrome font partie du périmètre du parc des boucles de l’Isère et du périmètre de réflexion Europan. Une stratégie globale, à l’échelle de l’ensemble du parc (périmètre rouge) est attendue des candidats. Les projets (à échelle urbaine ou architecturale) sont attendus sur les sites de projets (jaune), ou sur tout autre site compris dans le périmètre rouge et jugé stratégique par les candidats.
Les candidats sont libres d’intégrer ou non les éléments de contexte ou parties du site de leur choix dans leur stratégie et leur argumentaire.

En outre, comme l’UIVE, l’aérodrome interroge sur comment s’insère un équipement d’ampleur dans un parc. Les voûtes sont quant à elles, comme la Taillat un espace agricole. Les réponses qui peuvent être apportées sur les sites opérationnelles peuvent donc peut-être être réplicables sur ces sites.

Est-il possible d'avoir un historique des inondations dans la région, ainsi que la temporalité des inondations ? Combien de fois la zone a-t-elle été inondée au cours des dernières années et jusqu'à quel point ? Comment les inondations sont-elles gérées actuellement ?

Les ressources en lignes pour répondre à ces questionnements ne manquent pas pour qui veut des réponses et information:

Scientifiques :

https://www.persee.fr/doc/rga_0035-1121_2004_num_92_3_2306

Techniques :

https://www.arraa.org/sites/default/files/media/documents/journees_techniques/04_-_presentation_symbhi_comp.pdf

vulgarisée :

http://www.irma-grenoble.com/05documentation/04dossiers_numero.php?id_DT=8

officielles :

https://www.isere.gouv.fr/contenu/telechargement/31917/239136/file/ANNEXE1_DIAGNOSTIC_ISERE_GRESIVAUDAN.pdf

https://www.meylan.fr/cms_viewFile.php?idtf=250&path=Liste-des-evenements-PPRI.pdf

https://www.vigicrues.gouv.fr/ftp/plaquettes/plaquette_SPC19.pdf

 

Voir dans New docs after launch dans le dossier de site complet, Carnet de territoire Isère Amont, dans lequel il y a des informations historiques sur la gestion de l’eau et les crues les plus importantes.

Quelle eau (souterraine / potable / fluviale / ...) est utilisée pour arroser les champs agricoles et fertilise-t-elle naturellement la terre ? Existe-t-il un système de drainage / d'irrigation ?

Pour arroser les champs il y a 4 puits qui ont été foré cette année sur les 54 ha, l’eau est très proche et la terre est de très bonne qualité, idéal pour le Maraichage (Cf. étude sols Taillat dans le dossier New docs after launch, dans le dossier de site complet). Des irrigations enterrées ont aussi été installé chez 2 des maraichers présents sur le site.

La zone agricole de la Taillat est située dans un méandre de l'Isère. Les terres de cette plaine sont formées de dépôts alluviaux, constitués de matériaux transportés et déposés par les cours d'eau au fil du temps, grâce à l'érosion. En conséquence, les sols de cette région sont généralement composés de limons, de sables et de graviers. Ils sont riches en matières organiques et bien drainés, ce qui les rend fertiles et propices à l'agriculture. En raison de leur texture et de leur composition, ces sols présentent un fort potentiel agricole. À l'exception des périodes de fortes pluies, qui peuvent entraîner une remontée de la nappe phréatique, ces terres sont adaptées à la croissance des cultures grâce à leur caractère filtrant et à la présence probable de remontées capillaires, favorisant l'apport en eau nécessaire. Les terres sont planes et entièrement cultivables, ce qui les rend appropriées pour diverses productions végétales, notamment les cultures d'été telles que le maïs ou les légumes.

Une étude pédologique analysant les potentialités agricoles des sols selon les analyse de carottage a été réalisé par la chambre d’agriculture de l’Isère en décembre 2020.

Le nombre d'agriculteurs diminue à Grenoble (selon les statistiques), mais l'agriculture est un élément essentiel du paysage. Y a-t-il plus de coopératives agricoles ou l'agriculture est-elle de plus en plus industrialisée dans la région ?

Sur Grenoble il reste 7 agriculteurs et pas beaucoup de terre. On voit se développer de l’agriculture urbaine sur de petites surfaces avec des activités pédagogiques, sociales, d’insertions complémentaires. Nous observons une mutation de l’agriculture sur la Métropole (49communes), une diminution de l’élevage et de l’installation de petites surfaces en maraichage bio (Cf monographie agricole disponible dans le dossier New docs after launch, dans le dossier de site complet)

L'agriculture dans le territoire de Grenoble Alpes Métropole se caractérise par une diversité de productions agricoles. Les exploitations agricoles sont majoritairement de petite taille et se concentrent principalement sur l'élevage, la production de fruits, de légumes et de céréales. La surface agricole totale est d'environ 8000 hectares, ce qui représente environ 14% du territoire de la Métropole. Ces terres sont réparties entre des espaces de coteaux des trois massifs, principalement dédiés à l'élevage, et une agriculture de plaine bénéficiant de terres très riches destinées aux grandes cultures, au maraîchage et aux fourrages. Au cours des 30 dernières années, le territoire a perdu les deux tiers de ses exploitations, conformément à la tendance nationale (selon le Recensement Général Agricole). Cependant, on observe une stabilisation des effectifs récemment. Aujourd'hui, l'agriculture de la Métropole compte 210 exploitations pour 225 agriculteurs, dont près des deux tiers travaillent à titre principal, ce qui témoigne de son importance en tant qu'activité économique à part entière.

Dans quelle mesure le volume d'eau de l'Isère est-il contrôlé mécaniquement par des barrages ou des canalisations ?

Dans une mesure toute simple qui est que l’Isère (mais aussi certains affluents) est une rivière dont le bassin versant amont accueil des retenu d’eau (barrage et lac de Tignes par ex). Néanmoins le débit de l’Isère bien que influencé par les ouvrages hydroélectriques amonts réagit à la pluviométrie et à la fonte de neiges à l’échelle de son bassin versant des Alpes du Nord

Quelles sont les règles et réglementations du gouvernement concernant l'utilisation, la construction de structures permanentes et temporaires et les fonctions possibles des bâtiments dans la plaine inondable ?

Merci de consulter le PLUI et les annexes : 

 https://www.grenoblealpesmetropole.fr/610-les-documents-du-plui.htm  annexes 

https://cloud.grenoblealpesmetropole.fr/index.php/s/NK8tLWzTBFgJf4R?path=%2F1D_PPRI

Ainsi que le guide de l’aménagement résilient  (qui comporte des explications didactique sur la réglementation et sur certains concepts spécifiques tels que le RESi) : 

https://www.cerema.fr/fr/actualites/amenagement-resilient-zone-inondable-constructible

Comment les inondations sont-elles gérées actuellement ? Quelle eau (souterraine / potable / fluviale / ...) est utilisée pour arroser les champs agricoles et fertilise-t-elle naturellement la terre ? Existe-t-il un système de drainage / d'irrigation ?

Contrairement aux inondations, Grenoble est-elle confrontée à des problèmes de sécheresse et de pénurie d'eau ? Et si oui, y a-t-il une tendance à l'assèchement des arbres/forêts au fil des années ? Dans quelle mesure le volume d'eau de l'Isère est-il contrôlé mécaniquement par des barrages ou des canalisations ?

Nous ne sommes pas  sur un territoire sujet à sécheresse de part les caractéristiques géographiques de Grenoble avec une nappe phréatique alimentée par les grandes rivières alpines et la présence de reliefs proches. Nous avons des périodes d’étiage, mais pas de sécheresse en plaine hormis des baisses saisonnières et potentielle de la nappe. Ce qui n’empêche pas de subir et de plus en plus des périodes de sècheresse sur nos pentes et nos forêts comme durant l’été 2022.

Site UIVE-ASPTT Pouvez-vous préciser le calendrier du projet de démolition reconstruction de l’UIVE? (Libération du site, durée de la démolition, durée du chantier?)

  • Livraison Centre de Tri début 2024
  • 2025 : déconstruction de l’ancien centre de tri (accolé à l’actuelle UIVE) (voir diaporama étapes) > lieu d’emplacement de la future nouvelle UIVE
  • Base vie chantier UIVE sur site ASPTT
  • Pro T4 2024 à T1 2025
  • T2 2026 Début chantier UIVE jusqu’à T3 2028 inclu
  • Fin 2028 - Mise en régime nouvelle UIVE puis mise en service T1 2029 service UIVE
  • début 2029 à T3 2030 - Démolition ex UIVE
  • Construction déchèterie sur ASPTT ?

Quel est le rayonnement souhaité pour la maison du réemploi ? Communale, intercommunale ou métropolitain? Pouvez vous transmettre un plan d’implantation des déchetterie/recyclerie de la métropole (existant et projeté)

Le rayonnement souhaité est Métropolitain, le pôle du réemploi complètera la visite du centre de tri et de l’incinérateur pour les habitants de la Métropole. 

Voici celle des existants : https://www.grenoblealpesmetropole.fr/367-decheteries.htm#panelCarteBis

Le reseau de decheteries actuelles est disponible dans New docs after launch, fichier "Evolution_2019-2030_VF", dans le dossier de site complet et sur cette carte le reseau des recycleries : LES ADRESSES DU RÉEMPLOI DANS LA MÉTROPOLE GRENOBLOISE - uMap (openstreetmap.fr)

 

 

Avez vous des visuels (perspectives et plans) du projet de la nouvelle UIVE. Peut-on avoir les plans de éléments à conserver de l’ancienne IUVE?

. Le plan de l’uive existante, avec l’emplacement des fosses et du voile béton a été déposé dans New docs after launch, dans le dossier de site complet.

L’épaisseur du voile béton n’est pas correcte. On sait qu’il culmine à 24 m. Les fosses font environ 12m de large sur 35m de long (fosse la plus à l’Ouest) et 30m (fosse la plus à l’Est)

. Pour la nouvelle UIVE, il n’est pas possible de transmettre les plans (non stabilisés, phase ESQ)

. Pour les perspectives voici : https://cloud.grenoblealpesmetropole.fr/index.php/s/gKZaEBGygsrGiRR

Peut-on avoir le plan des infrastructures cyclables projetées?

=>https://cloud.grenoblealpesmetropole.fr/index.php/s/e2ZKPamrZRcbJcq  Voici le plan des itinéraires cyclables existants et projetées

> C'est un document de travail, susceptible d'évolutions mineures jusqu'à cet automne.

> S'agissant du secteur boucle de la Taillat : un itinéraire est représenté le long de la rocade => le tracé définitif sera établit suite aux études de faisabilité et arbitrages projet.

Il y a-t-il des projets de renforcement des itinéraires de transports en communs (bus, tram, train)?

Ce sont des lignes déjà adaptées à la demande actuelle et bien calibrées. Il y a donc peu d’évolutions prévues en terme d’offre/fréquence/tracé dans le réseau 2024/2030 sur le périmètre Europan.

Le SMMAG prévoit des réorganisations de lignes à une échelle élargie, mais au niveau du périmètre Europan même si des lignes peuvent changer de numéro éventuellement la desserte et l’offre seront les mêmes.

La Chronobus C1 est sur l’axe Verdun et a déjà un site propre complet aujourd’hui dans les deux sens. A noter qu’au regard des enjeux d’adaptation de la flotte SMMAG, la C1 passera en trolley horizon 2030 32.

Pas de changements majeurs prévus à Domène, ni Murianette au niveau TC (des ajustements à la marge mais pas du tout déterminant pour Europan).

 

Les grands principes sur l’évolution du réseau SMMAG :

  • Evolution vers un réseau unifié à l’échelle du SMMAG ( Métropole –Grésivaudan en 2024 puis Voironnais lorsqu’il délègueront leur compétence transport au SMMAG) avec création de lignes SMMAG entre les 2 périmètres. Certaines existent déjà  (C1, 23, G2, 59…)
  • Evolution vers une tarification unifiée à l’échelle du SMMAG : convergence progressive des tarification tag-tougo déjà amorcé en 2023 (janvier 2023 : création d’un titre 5-10 ans unique sur périmètre SMMAG, tarification solidaire unifié à partir de septembre 2023 (délibération avant l’été), gamme tarifaire complète unifié visée en Sept 2024)
  • Développement des liaisons périurbaines SMMAG ( cadencements, lisibilité, rapidité..) entre le cœur urbain et les secteurs périurbains du SMMAG (grésivaudan , grand Sud , voironnais lorsqu’ils auront délégués leur compétence transport au SMMAG ) en articulation avec l’offre régional : Ter , Car Région
  • Offre de transport urbaine conforté sur le réseau structurant (extension tram D venant d’Etienne Grappe à ST Martin d’Hères jusqu’à la gare (SNCF) de Grenoble : la ligne qui se termine aujourd’hui à l’Université (arrêt les Taillées) continuera sur l’infrastructure de la B à travers le CHU puis l’Ile verte et le centre Grenoblois jusqu’à la gare. Mise en service en septembre 2024
  • renouvellement du parc de rame tramways et extension dépôt Eybens en 2027-32 et politique de développement du vélo pour les trajet  court  

 

Sur l’étude réseau 2024 voici les grands principes invariants :

  • Principe d’offre périurbaine basé sur des lignes fortes proche de l’urbanisation (jusqu’à 10/15 km) complété par des ligne rapide (express) au-delà de 10/15 km (= Crolles Brignoud et au-delà) avec passage par autoroute (VRTC existante côté Voironnais en projet sur Grésivaudan et Grand sud) avec desserte DE Pole d’écahnge multimodaux sur les échangeurs autoroutier/gare (Pré de l’Eau , la Batie, gare de Brignoud, Goncelin..)
  • Création de ligne rocade rapide entre secteur périurbain et pôle de la périphérie du Cœur Urbain : Université/Grand place
  • Peu de modification en terme d’aménagement de l’espace en dehors des PEM et projet VRTC porté par l’Etat
    • Les nouvelle ligne reprennent des tronçons de ligne existante et s’appuie sur l’autoroute   
    • Fusionne/ regroupe entre elle certaines lignes pour optimiser les moyens et proposer une offre plus lisible  
    • Renforce les fréquences/ amplitude, modifie les tracés des lignes périurbaines  

 

En outre nous vous transmettons les enjeux de mobilités sur la Polarité Nord Est :

  • Capacité (de l’avenue de verdun ?) 5650 vhl/H VS Demandes HPS (heures de pointe du soir) : 7 500 VH/H
  • Un point dur d'accessibilité qui se forme au niveau de l'écran Isère Saint Martin d'Hères
  • Une concentration des flux tous modes au niveau de l'entrée de ville grenobloise, qui vient s'intensifier avec l'augmentation de la population
  • Des capacités tous modes qui se resserrent au niveau des franchissements de l'Isère et de l'entrée dans le centre ville
  • Afin d'améliorer l'accessibilité multimodale, des ambitions à long terme envisagées sur le secteur, qui viennent cependant impacter la capacité routière à l'écran
  • Une capacité routière projetée à l'écran qui diminue par rapport à l'état actuel
  • Sans modification des pratiques modales, une demande automobile projetée à l'écran qui augmente par rapport à l'état actuel

 

  • La capacité routière à l'écran ne permet plus de répondre à la demande un manque à transporter estimé à 1 850 véh / soit 25% de la demande actuelle
  • Quel potentiel d’accueil de ces usagers sur les modes alternatifs développés en parallèle ? Comment optimiser ces reports ?

Pouvez vous transmettre des éléments concernant les lauréats de l’AMI de la Ferme Métropolitaine (type de culture, surface allouée, objectif de production, besoin en infrastructure)?

Les documents qui donnent des données sur le volet environnemental vers le secteur Taillat sont disponibles dans New docs after launch, dans le dossier de site complet.

Pouvons nous avoir les relevés géomètres réalisés sur l’ensemble des bâtiments de la ferme?

Les éléments ont été transmis, sinon voir dans dans le New docs after launch dans le dossier de site complet, de nouveaux document ont été déposés.

Existe-t-il une étude d’impact ou une analyse environnementale à l’échelle du site? Et/ou un relevé faune flore ?

A l’échelle du grand site non mais nous disposons et avons transmis (dans le dossier de site complet ou New docs after launch) :

  • Etude environnementale site athanor
  • Plan de gestion parc de l’ile d’amour
  • Taillat : Voir dans New docs after launch dans le dossier de site complet, 2 nouveaux fichiers ont été déposés

FR-GAM-SS-T03 Campus tertiaires et technologiques.pdf : Pouvez nous donner le détails des acronymes indiqué sur cette carte ?

  • CSTB : Centre Scientifique et Technique du Bâtiment
  • GEA : entreprise de SYSTEMES DE PEAGE GRENOBLOISE D'ELECTRONIQUE ET D'AUTOMATISMES située à Meylan
  • IMAB > manifestement erreur : IMAG - https://batiment.imag.fr/

Le bâtiment IMAG a pour stratégie de concentrer les moyens et les compétences pour créer une masse critique (800 enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants), augmenter les synergies et garantir à Grenoble une visibilité à l'échelle mondiale. L'activité recherche au sein de ce bâtiment permettra également d'amplifier fortement les coopérations entre les acteurs locaux qui prennent déjà place dans l'Institut Carnot grenoblois "logiciels et systèmes intelligents" et dans le pôle de compétitivité Minalogic pour atteindre le stade de la recherche intégrative.

Le bâtiment regroupe les laboratoires et services suivants par ordre alphabétique : Agence pour les Mathématiques en Interaction avec les Entreprises et la Société (AMIES), Grenoble Alpes Recherche Infrastructure de CAlcul Intensif et de Données (GRICAD), Laboratoire d’Informatique de Grenoble (LIG), Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), VERIMAG.

Un  accélérateur d’innovations capable de faciliter le transfert des recherches en laboratoire vers l’industrie. recherche fondamentale et recherche appliquée ne s’opposent pas mais se complètent.

 

  • SMH = Saint Martin d’Hères
  • PM = Pôle multimodal
  • FSC ?
  • IAB : institut pour l’avancée des biosciences (CHU)
  • ARTEPARC : UN PARC TERTIAIRE DE 3E GÉNÉRATION À 15 MINUTES AU COEUR DE LA TECHNOPOLE D’INOVALLÉE ET DU CENTRE VILLE DE GRENOBLE
    6 BÂTIMENTS -848 PLACES DE PARKING - UN PÔLE SERVICE - https://www.groupe-artea.fr/reference/arteparc-meylan/
  • INRIA : centre de recherche ( Science des données ; Modélisation de l’environnement ; Fiabilité technique, environnementale et éthique du logiciel ; Informatique quantique)
  • https://www.inria.fr/fr/centre-inria-universite-grenoble-alpes

TARMARC : Tarmac est l'incubateur de startups technologiques créé par inovallée en 2014  https://tarmac.inovallee.com/

Pouvez-vous préciser le programme et les surfaces des services techniques qui s’installeront dans les anciens locaux de l’ASPTT?

Utilisation provisoire (pour au moins 7/8 ans) en Centre Technique espaces verts pour la ville de La Tronche

Vous pouvez considérer la surface du gymnase actuel (800 m²) puisque c’est ce batiment qui est rehabilité. Les surfaces et les géométraux sont transmis dans le dossier New docs after launch, fichier "Evolution_2019-2030_VF", dans le dossier de site complet. 

Concernant le programme du projet CTM de la Tronche, voir les fichier "2480 - NOTE PROGRAMMATIQUE GYMNASE ASPTT - Annexe" et "2480 - NOTE PROGRAMMATIQUE GYMNASE ASPTT et surfaces", dans NEW DOCS AFTER LAUNCH, dans le dossier de site complet. 

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Imaginer l'espace public comme un paysage biodiversifié. Imaginer l'espace public comme un sol, comme la preuve que YES, WE CAN – à travers le design – relever les défis posés par la crise due au changement climatique, en termes de questions sociales et environnementales. Imaginer l'espace public comme un agent d'inclusion des différences, à la fois en termes d'humains et de non-humains, et comme un médiateur entre les nouvelles interdépendances. Imaginer les sols, les plans d'eau, les rivages et les corridors écologiques comme les acteurs principaux pour guider des processus de transformation complexes.
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